Michel Lagacé réélu préfet à la MRC de Rivière-du-Loup

Le préfet sortant de la MRC de Rivière-du-Loup, Michel Lagacé, vient d’être réélu par ses pairs à la préfecture, lors d’un vote tenu au cours de la séance du conseil de la MRC qui a eu lieu le 26 novembre dernier. Les élus présents (12 sur 13) ont alors procédé au vote secret sous la supervision de Me Linda Mimeault, adjointe à la direction et secrétaire-trésorière adjointe. Michel Lagacé a récolté 18 votes sur 19. Michel Lagacé débute aujourd’hui son 7e mandat en tant que préfet de la MRC de Rivière-du-Loup, qui le mènera jusqu’en 2016.

Il faut savoir que le nombre de voix par municipalité va comme suit : 7 voix pour la Ville de Rivière-du-Loup, 2 pour Saint-Antonin et 1 voix pour chacune des autres municipalités de la MRC et que pour être élu, le préfet doit obtenir la majorité absolue, c’est-à-dire un minimum de11 voix.

« Je suis fier de siéger à nouveau à titre de préfet de la MRC de Rivière-du-Loup. C’est un privilège de travailler et de représenter les intérêts de la communauté louperivienne » souligne monsieur Michel Lagacé. Les principaux projets pour la MRC de Rivière-du-Loup sont, entre autres, la mise en exploitation de l’usine de biométhanisation dès mars 2015. « Nous poursuivrons notre travail dans ce projet afin que cette usine, unique en Amérique du Nord, puisse répondre à tous les espoirs de notre population » précise le préfet.

Un autre projet important pour le territoire de la MRC de Rivière-du-Loup est le projet éolien communautaire régional qui est mené par le regroupement Alliance de l’Est, dont fait partie la MRC de Rivière-du-Loup, les autres MRC du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie, de même que la Première Nation Malécite de Viger. « Nous espérons recevoir une réponse positive du gouvernement en 2015 à l’égard du projet déposé en octobre dernier dans le cadre de l’appel d’offres de 450 mégawatts communautaires » poursuit monsieur Lagacé.

Michel Lagacé est préfet de la MRC de Rivière-du-Loup depuis 2002. Il est également maire de la municipalité de Saint-Cyprien depuis 1997 et était auparavant conseiller municipal depuis 1988. « Mes racines sont profondément enfouies dans le sol cypriannais », indique-t-il, lorsque questionné sur son attachement à sa terre natale.